Ferdinand-Joseph Grandperrin
Horloger
Fils de l’horloger parisien Nicolas-François Grandperrin et d’Anne-Antoinette-Victoire Lherminier, Ferdinand-Joseph Grandperrin reprend le fonds de commerce de son père à la fin des années 1830 ou au début de la décennie suivante et développe rapidement l’activité. Installé au 394, rue Saint-Honoré, il connaît une grande notoriété et se marie, en septembre 1842, avec Eléonore-Pauline Meugnot, certainement la fille de l’horloger Joseph-Julie-Alexandrine Meugnot mentionné en 1830 place de l’Oratoire. Rapidement Grandperrin se distingue pour ses créations reconnues pour leur originalité et la perfection des mouvements.